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Kista
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Ebola


Posté le 21 septembre 2010 à 21:26 | Sujet : Scenarios
cloud_strife_58 a dit :
Et dépêche-toi de nous pondre la suite, fainéant !


Les écrivains ne sont pas du citron CS... arrête des le presser
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Shinra
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Artiste


Posté le 21 septembre 2010 à 21:26 | Sujet : Scenarios
CS58 plaisante n'est-ce pas ?(C'est toi le fainéant dans l'histoire! ) Non, prends ton temps ! Faut pas bacler un aussi bon scénario !!
_██_
(ಠ_ృ ) INDEED

Shinra-Creation
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 21 septembre 2010 à 21:27 | Sujet : Scenarios
Je prends mon temps, vous en faites pas
Je ponds cette scène, et d'ici ce soir, j'aurai aussi créé les personnages de Blue Bastards
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cloud_strife_58
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Bière addict


Posté le 21 septembre 2010 à 21:28 | Sujet : Scenarios
Shinra a dit :
CS58 plaisante n'est-ce pas ?(C'est toi le fainéant dans l'histoire! )


Oui, je plaisante, et je t'interdis de m'insulter toi, petite poule !
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 21 septembre 2010 à 22:26 | Sujet : Scenarios
Voici la scène 21. J'en suis pas particulièrement fier... Mais ca va commencer à chier la!!

Scène 21

-Peter et son équipe sont dans la voiture. Des bruits viennent du coffre.-
Michael Reeks : Toi et ce mec, Farrell... Vous étiez pas amis?
Peter Lee : Ami ou pas, c'est moi ou lui en ce moment même. Y a pas à hésiter une seconde.
Michael Reeks : Vous êtes vraiment un enfoiré, chef.
Peter Lee : J'ai pas le choix. Vous avez tous vos flingues?
Kyle Gordon : Ouais... J'ai ramené mon bébé pour l'occase.
-Kyle sort un flingue plus gros que lui.-
Peter Lee : T'as ramené le Taurus? Tu comptes tirer sur quoi avec ça? Un avion?
Kyle Gordon : Ca peut s'avérer utile... L'avantage des gros calibres comme ça, c'est que peu importe ou ta cible est touchée... Y a toujours un bout de corps qui part avec la balle.
Donnie Krieg : T'es vraiment un pauvre con, Kyle.
Kyle Gordon : Vois le bon côté, si je tire a bout portant dans la tête de Petersen avec ça, le temps qu'ils l'identifient, on sera déja a l'autre bout de la planète.
Michael Reeks : C'est si puissant que ça un .454?
Kyle Gordon : Un mec qui tient dans sa main un .454 est l'un des rares qui peut se permettre de dire qu'il tient un putain de tank portatif dans sa main!
Peter Lee : Fermez-la. Préparez vos armes et sortez de la voiture. Petersen arrive.
-En effet, dans l'ombre, on peut observer Petersen arriver accompagné de deux hommes cagoulés. L'équipe sort de sa voiture. Michael va à l'arrière de la voiture, ouvre le coffre et en sort Farrell, menotté, bailloné et un pistolet pointé sur la nuque.-
William Petersen : Alors, c'est lui l'enfoiré qui veut me vendre?
Peter Lee : Il parait. Mais j'ai un peu de mal avec les "il parait" alors si ça dérange pas, j'aimerai vérifier. Michael, débaillone-le.
-Michael le débaillone.-
William Petersen : Lenny Farrell?
Farrell : Ouais.
William Petersen : Tu sais qui je suis?
Farrell : Le chef de la police de New York.
William Petersen : Bingo. Et tu sais ce qui se passe ici?
Farrell : Non.
William Petersen : On joue ta vie, ici.
Peter Lee : Demande lui s'il sait et arrêtons de tergiverser tu veux?
William Petersen : Il parait que tu as des informations compromettantes me concernant. C'est vrai?
Farrell : J'peux vous donner un conseil?
William Petersen : Il te reste 5 minutes à vivre, mais vas-y.
Farrell : Si l'un seul d'entre vous, bande d'enfoirés, ose lever la main sur moi... Vous allez avoir des problèmes. Des problèmes du genre fédéral. J'en viens donc à mon conseil. Ne tire pas. Tu ferais qu'aggraver ton cas.
William Petersen : Quoi?
Farrell : Je vous ai tous vendu. Lui (-il désigne Peter de la tête) aux Triades, et toi aux Fédéraux. Vous êtes tous foutus.
William Petersen : Espèce d'enfoiré.
-William pointe son arme sur Farrell. Michael, Peter, Kyle et Donnie (qui à un automatique) pointent les leurs sur William et ses sbires, qui pointent les leurs sur l'équipe de Lee.-
Kyle Gordon : C'est une tendance le standoff mexicain ces temps-ci?
William Petersen : Vous êtes encore plus cons que je le pensais.
Donnie Krieg : Ferme ta gueule. Une rafale et vous trois, vous serez plus qu'un mauvais souvenir.
William Petersen : Avant que tu puisses faire quoi que ce soit, j'aurai atomisé la gueule de ce connard et de l'abruti qui se trouve derrière! Lee, c'est ce mec qui t'a vendu aux Triades. Finis-le! Et toute cette histoire sera oubliée d'ici demain.
Peter Lee : C'est ça. Et d'ici demain, je me serai fait arrêter pour avoir tué un putain d'informateur pour le FBI!
William Petersen : Tu préfères tuer un autre flic?
Peter Lee : Mais regarde toi... T'es pathétique. Nous, on a tué pour quelque chose. On a tué pour éviter que d'autres pauvres types se fassent tuer... Toi, t'es prêt à tuer pour pas finir en taule... Mais vas-y, bute ce type. Bute ce type qui vient de t'avouer avoir tout dit au FBI qui doit sans doute être en train de te regarder pointer ton magnum sur la tête de ce même type avec des putains de jumelles à rayons x!
-Après un long temps d'hésitation, Petersen baisse son arme.-
William Petersen : Ok... Ok, ok, ok. Calmons-nous. Baissez vos armes.
-Ses sbires baissent ses armes. L'équipe de Lee fait de même, mais reste sur ses gardes.-
William Petersen : Alors?
Peter Lee : Alors quoi? On est tous baisés.
Farrell : Si vous me laissez partir, je peux m'arranger pour que les choses reviennent à la normale.
William Petersen : Foutaises. T'es un informateur, rien de plus. Un informateur à aucune influence dans une organisation comme le FBI. On est baisés, c'est un fait. Autant en finir avec toi maintenant.
Peter Lee : Regarde, William, on a baissé nos armes pour qu'on s'arrange, et tu veux descendre ce pauvre type. On va faire simple. Descend-le. Vas-y. Mais n'oublie pas qu'a côté de moi, y a Donnie et Miss Mitraillette prête à te faire tomber toi et tes hommes comme des putains de dominos!
Donnie Krieg : Et Kyle avec son char portatif.
-Kyle glousse.-
William Petersen : Tu proposes quoi?
Peter Lee : Moi et mes hommes, on va retourner dans la voiture et envoyer Farrell loin d'ici, la ou il ne pourra plus essayer de niquer ta vie... Toi, t'oublies toutes les charges contre nous et tout redevient normal dans la police de New York.
William Petersen : Et je m'en sors avec quoi?
Peter Lee : Ta putain de vie. Ca devrait être assez non?
William Petersen : Quel ramassis de conneries...
Peter Lee : Bordel, qu'est-ce que tu veux?!
William Petersen : Il a tout balancé. C'est foutu.
Peter Lee : Alors, on va arrêter d'enfoncer le clou et rentrer gentiment chez nous.
Kyle Gordon : Ecoute, connard. Prends une putain de décision. Fais ce que t'as à faire, ou fous le camp d'ici. Mais on t'a prévenu. T'étonnes pas si dans les minutes à venir tu retrouveras ta tête étalée aux quatre coins de ce terrain de basket.
William Petersen : T'en fais pas pour ça.
-William se décide, tire dans la tête de Farrell, Michael parvient à se baisser a temps et évite donc la balle qui à traversé, Farrell tombe sur lui. A terre, Michael riposte et commence à tirer sur William, Donnie envoie une salve de son arme, pendant que Kyle atomise littéralement la tête d'un des sbires. Ils finissent par mourir les deux, sans n'avoir presque rien eu le temps de faire. Peter se rapproche du cadavre de William.-
Peter Lee : Putain d'enfoiré.
Donnie Krieg : Ce putain d'enfoiré est le chef de la police.
Michael Reeks : Chef de la police ou pas, il à atomise ce pauvre type. Putain c'est dégueulasse.
Peter Lee : Il faut se débarasser des corps. Vite. Donnie, Kyle, chargez le corps de Petersen dans la voiture et jetez la à l'eau. Enlevez tout ce qui peut lier la police à nous : plaque d'immatriculation, papiers... Tout. On a comme qui dirait un putain de problème.
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Ze Ring
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Posté le 22 septembre 2010 à 19:46 | Sujet : Scenarios
Voila le synopsis complet de Blue Bastards!
De même que pour Blue Vigilantes, il y aura dans ce message un "aperçu" de comment je vois les personnages (ou de quels personnages d'autres films/jeux je me suis inspiré).

Les personnages :

Personnage 1 – Samuel Hicks – Agent du F.B.I depuis 2007 (le scénario prend place en 2011). Il a longtemps fréquenté les milieux criminels avant de rejoindre la police en 1997 en tant qu'agent infiltré dans la famille Cantello, sous le nom d'Emilio Falcone. Suite à une opération ayant duré 7 ans, la famille Cantello est démantelée par la police et le FBI propose un poste à Messner, qui accepte évidemment. 4 ans passés sous la tutelle du FBI lui ont toutefois fait prendre conscience que les méthodes du bureau sont loin d'être "clean", en effet, ce dernier à souvent tendance à faire des sacrifices importants pour éliminer une personne... En 2010, il pense à démissionner mais il est convaincu par un de ses collègues de rester et en 2011, il est finalement envoyé à New York pour démanteler la famille Perello, dernier vestige de la mafia, avec une équipe de deux agents tout aussi compétents que lui.

Texte caché : cliquez sur le cadre pour l'afficher


Personnage 2 – William Tombs – Membre du FBI depuis 14 ans, William Tombs est ce que l'on pourrait qualifier de véritable vétéran au sein de l'agence. En effet, en 14 ans de carrière, il à participé activement à démanteler de nombreuses organisations criminelles & à fait preuve de nombreux actes de bravoure. Superflic dans l'âme et avec un sens de la justice aigu, il est, contrairement à Messner, prêt à faire tous les sacrifices nécessaires si cela permet d'éviter d'autres morts inutiles. Toutefois, c'est ce qu'il dit, car en apparence, Tombs à tout du vieil aigri égoiste je m'en foutiste... Un vrai bad mother fucker.

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Personnage 3 – Sean Henderson – Vieux con de l'équipe. Vétéran de la guerre du golfe, en rentrant au pays, il rejoint le FBI, après avoir fait preuve de capacités au combat étonnantes. Il mène une carrière florissante et fait équipe avec Tombs dès lors que ce dernier rejoint le FBI. Il est par ailleurs le seul à vraiment le connaitre et à savoir ce qui se cache derrière cette volte-face. Il a par ailleurs un véritable problème avec Messner, qu'il juge inapte à mener l'enquête sur l'affaire Perello & fait tout pour le décrédibiliser et le ridiculiser.

Personnage 4 – Christopher Edgerton – Chef de Samuel Messner & de son équipe, il dirige une grande partie du FBI. Très professionnel dans son travail, il à fait preuve, lors de son entrée au FBI, de grands talents de négociateurs, il se sert donc de ses talents pour conclure des deals et marchés afin d'arriver au but qu'il souhaite atteindre. Obtenir un informateur, conclure un marché pour obtenir un témoin, c'est son truc, faisant de lui le pilier officiel et officieux de l'équipe de Messner. Toutefois, il n'a que faire de ses hommes & et est très fortement dépendant à la morphine.

Personnage 5 – Salvatore Perello – Parrain de la famille Perello, criminel le plus influent de New York, bad mother fucker complètement allumé, père d'un enfoiré lui aussi complètement allumé, et ayant à sa botte le moindre flic de la ville. En effet, lorsque les familles mafieuses commencèrent à tomber, Salvatore eut la sagesse d'immuniser son business en achetant les autorités au lieu de faire la guerre à ces dernières comme les autres familles. Il n'a de mafieux que le nom, ne respectant presque aucun "commandent" du code de la mafia et considérant le code d'honneur de cette dernière comme "un ramassis de conneries dont le seul but est de vous faire coffer". Il est la cible principale du FBI.

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Personnage 6 – Robert McFadden – Chef de la police de New York et pourri jusqu'a l'os. Jusqu'a l'intérieur de l'os même. Grand ami de Salvatore Perello et partenaire en affaires de ce dernier, il l'a fréquenté suffisamment longtemps pour, s'il le souhaitait, l'enfermer à vie dans une prison sous-terraine qui serait créée spécialement à son effet. Toutefois, Salvatore paie bien la police pour ne pas agir, et un code d'honneur s'est établi entre les deux personnages, dixit McFadden "Tu m'laches, j'te balance, tu peux faire pareil mais c'est moi qui aura le plus de preuves.". Les deux n'ont aucun interêt à une guerre ouverte. Le FBI cherche également à le faire tomber.

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Personnage 7 – Michael Serna – Flic de 55 ans à deux doigts de la retraite. Autrefois un policier honnête, il n'a toutefois pas su tenir à la tentation et à commencé à travailler pour la famille Perello en 1990 comme encaisseur, à l'époque ou le chef de la NYPD n'était pas pourri également. Serna est à deux doigts de la retraite, mais également du suicide : sa femme, qui ne fut jamais capable d'avoir un enfant, est morte il y a deux ans, son frère l'ignore, et bien qu'il travaille pour la mafia, il se reproche d'avoir tué accidentellement un civil lors d'une collecte qui à mal tourné. Il est également méchamment Acro à la meth.

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Personnage 8 – Adidas – Non, ce mec n'est pas un sponsor sur pattes... En réalité, on ne sait rien de ce type si ce n'est cela : il est apparemment un membre de la mafia, il à deux doigts coupés, il à tué deux types avec un revolver que la mafia à égaré et que le FBI recherche activement, tout cela vêtu d'une veste Adidas. Il est le centre d'interêt de beaucoup de personnes ces temps-ci.

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Personnage 9 – Francis Doe – Doe n'est bien évidemment pas son vrai nom. Une manière de garder l'anonymat, en effet, quoi de mieux pour un menteur, bad mother fucker, et traffiquant d'informations que d'adopter un faux nom et de fausses coordonnées pour éviter toutes représailles au cas ou un client serait mécontent? Très habitué à traiter avec l'armée, et accessoiremment certaines organisations dont je tairai le nom pour éviter de vous spoiler ce scénario qui n'est même pas encore écrit, il décide néanmoins, lorsque le FBI se lance à la chasse au Perello, de vendre une information qui pourrait être très précieuse...

Personnage 10 – Vincent Perello – Tel père, tel fils, cela définirait bien Vincent Perello. Si son père est un enfoiré complètement fou, il n'est rien à côté de son fils en terme de folie, accro à la cocaïne, violeur à ses heures perdues et malheureusement méchamment couvert par son popa. Il fallait bien un fou pour ce scénario : le voici.

En 2011, la mafia à été démantelée aux Etats-Unis. La famille Perello à malgré tout réussi à sauver la face à New York, en achetant grassement la police locale, contrôlée par Robert McFadden, un flic pourri depuis ses débuts en tant que policier ayant pris le contrôle de la NYPD lorsque Christopher Durand, ex-chef de cette dernière et policier honnête, à pris sa retraite en 2008. Cela eut pour conséquence de grandement pacifier la ville, le conflit flics/mafieux s'étant arrêté un moment, même si cela eut aussi pour effet subsidiaire de rendre la famille Perello plus puissante que jamais au coeur de la ville. Toutefois la paix ne peut pas durer éternellement, et elle se brise en partie lorsque le FBI décide de faire tomber la famille Perello, ainsi que McFadden et ses acolytes. Pour cela, le bureau envoie une équipe, dirigée par Christopher Edgerton et composée de William Tombs, Sean Henderson et Samuel Messner, dirigeant les opérations de cette petite équipe sur le terrain. Toutefois, après plusieurs mois, ils n'arrivent à aucun résultat, Perello et McFadden sont intouchables & sont de très bons acteurs, chacun semblant faire son boulot officiel, McFadden celui de policier et Perello celui de gérant d'hotel. Toutefois, lorsqu'un important deal de drogue entre une équipe de la famille Perello, dirigée par Vincent Perello, fils de Salvatore Perello, parrain de la famille, et une bande de Harlem dégénère, cette paix entre la mafia et la police comment à légèrement se briser. La raison à cela : en cas d'incident, la police est censée intervenir sur place & se débarasser de toutes les preuves, preuves ensuite récupérées par la mafia. Toutefois, la police égare le revolver d'un des hommes de Vincent & cela n'est pas l'oeuvre de la mafia, ni de la police... Le FBI s'intéresse à l'affaire. La mafia fait profil bas et la police envoie Michael Serna; un pourri (faire semblant d') enquêter sur la disparition de cette pièce à conviction... Mais toute cette mascarade éclate, lorsqu'un assassin surnommé Adidas en raison de la veste qu'il portait pendant l'acte et présumé membre de la mafia tue deux personnes dans un magasin de spiritueux à l'aide du revolver auparavant égaré. La situation s'aggrave lorsque Francis Doe, un informateur, vend la position exacte d'Adidas... Mais la question est de savoir qui, du FBI et de la mafia, trouvera Adidas et le revolver le premier.

Bonne lecture!
J'attends vos réactions
En attendant, je continue le premier scénario, je pense notamment réviser en intégralité la dernière scène que j'ai écrit.

[Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 22 septembre 2010 à 21:24]
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Ze Ring
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Posté le 22 septembre 2010 à 21:08 | Sujet : Scenarios
J'ai refait la scène 21 qui ne me plaisait pas.

Scène 21

-Légendaire vue du coffre, depuis la voiture de Lee. On voit toute l'équipe de ce dernier regarder son contenu. Note importance : l'endroit est simplement éclairé par un lampadaire.-
Kyle Gordon : Alors, c'est lui notre rédemption?
Peter Lee : Bingo. Mais j'ai moi-même quelques questions à lui poser. Michael, débaillone-le.
-Michael débaillone le personnage en question, sans que la caméra ne bouge. Cela fait, on entend le personnage dont le nom n'a pas encore été évoqué (mais on se doute bien de qui c'est hein) respirer profondément pendant quelques temps.-
Peter Lee : Mec... Ca me fait chier de te faire ça, mais j'ai besoin de toi. J'ai quelques questions à te poser, et un "ami" (-il mime des guillemets-) à moi en a aussi quelques unes a te poser.
-La caméra passe enfin sur Farrell.-
Farrell : Tu veux quoi?
Peter Lee : Il y a quelques jours, je t'ai demandé une info. Je t'ai demandé de me trouver la position exacte de Tequila, le bras droit de Tony Yuen, à ce moment-là. Tu m'as trouvé l'info, on à trouvé le type mais il s'est taillé... Deux ou trois jours après, ce même type débarque avec 3 potes, tous armés de putains de Uzi, et ruine ma maison. Ou il a eu l'info?
Farrell : J'en sais rien, mec! Je te le jure.
Peter Lee : Le mensonge paye pas, copain. Michael, sors-le de la.
-Michael sort Farrell du coffre. A peine ce dernier est-il debout que Peter lui envoie une droite dans le ventre. Farrell tombe à genoux.-
Peter Lee : Depêche-toi de cracher le morceau, mec, ou je vais devoir devenir vraiment méchant... Et tu sais très bien que j'aime pas ça.
Farrell : Bordel, j'te dis que j'en sais rien.
-Peter envoie un coup de pied dans la tête de Farrell. Il tombe sur le côté.-
Peter Lee : Je croyais que tu savais tout?
Farrell : Et ben écoute, voila une exception à la règle!
-Peter sort un pistolet de son holster.-
Peter Lee : Ce truc métallique ne te rafraichit pas la mémoire?
Farrell : Bordel... Ecoute mec... C'était juste du business.
Peter Lee : Du business? Tu m'as vendu pour du business?
Farrell : Tu veux la vérité? Je suis qu'un pion pour ce putain de FBI! Ils m'ont demandé des infos sur les Triades! Alors je suis allé me renseigner! Je suis profondément ancré dans leur organisation et si après 5 ans de business avec eux, je leur refusais une info, ca compromettait ma place dans le gang!
Peter Lee : Cette info, c'était l'adresse d'un type qui te considérait comme un frère. Tu te rends compte de ça?
Farrell : Oui. Mais je vois pas de quoi tu te plains, "frère". T'as survécu, t'as même tranché l'oeil de ce connard de Tequila.
Peter Lee : Va dire ça à ma baraque. Deuxième question. William Petersen, chef de la NYPD, à des informations très compromettantes au sujet de mes amis et moi. En échange de "l'oubli" de ces informations, je dirais, il te demande toi, il croit que tu as des infos contre lui. C'est vrai?
Farrell : Bordel, oui... Il fait de la contrebande. De drogues principalement. Il a peur de quoi?
Peter Lee : Que tu le vendes au FBI.
Farrell : Qu'est-ce que tu veux que le FBI en ait à foutre de ce bouffon? Ils veulent Yuen.
Peter Lee : Yuen est fini. On l'a coffré.
Farrell : Les triades le libéreront. Yuen va être transféré en taule et les triades vont attaquer le fourgon. Le FBI veut s'assurer qu'il sorte pas vivant de cette embuscade.
Donnie Krieg : Et merde. Quand aura lieu le transfert?
Farrell : Demain, 14h. Pourquoi?
Peter Lee : Petersen est pas con. S'il sait qu'on t'a enlevé, il saura aussi qu'on t'a interrogé. Il saura, avant demain, que tu nous a dit ce que tu sais vis-à-vis de lui. Ses hommes sont déja prêts à prendre en embuscade les Triades, le FBI va intervenir, ça va partir en massacre et nous on sera en route pour un putain de tribunal.
Donnie Krieg : Tu proposes quoi?
Peter Lee : On descend Petersen. Ce soir. Il compte nous baiser de toutes façons, alors autant se charger de lui.
Michael Reeks : T'as perdu la tête?
Farrell : Tu t'es mis dans une belle merde, Lee.
Peter Lee : Toi aussi, quand tu m'as vendu aux triades.
Farrell : Ecoute... Je suis désolé. J'avais pas le choix.
Peter Lee : T'es désolé?
Farrell : Ouais, j'suis désolé.
-Peter tire une balle dans le bras de Farrell. Il se met à hurler.-
Peter Lee : La, on est quittes, pauvre con.
-Peter se relève. Une voiture arrive derrière eux. Petersen en descend, avec 3 hommes armés de pistolets-mitrailleurs.-
William Petersen : Peter. Je t'ai dit de me ramener ce connard, pas de le torturer.
Peter Lee : Je le torture pas. Je lui soutire quelques éléments d'informations.
William Petersen : De quoi tu parles?
Farrell : De la meth que tu cultives dans ton jardin et que tu fais passer illégalement en Angleterre!
William Petersen : Toi, ferme ta gueule! (-il pointe Farrell du doigt-) Tu m'expliques ce bordel, Lee?
Peter Lee : Je pense qu'il a très bien résumé la situation.
-William sort un Smith & Wesson Model 29 (oui celui de Dirty Harry) afin d'intimider Lee.-
William Petersen : Dis-moi ce qui se passe.
Donnie Krieg : Ce qui se passe, espèce de vieux tas de merde, c'est qu'on sait très bien que d'une façon ou d'une autre, tu vas nous baiser... On a pas enlevé Farrell pour te le donner, mais pour lui soutirer des informations. Ton plan est foutu. Le FBI est sur ton coup.
William Petersen : Quel coup?
Donnie Krieg : Ton embuscade qui vise à tuer Yuen... Le FBI à eu la même idée.
William Petersen : Qu'est-ce que cette petite merde vous a dit?
-Michael, qui était assis sur le capot de la voiture, pose les pieds à terre, jette sa cigarette façon Tyler Durden et prend la parole.-
Michael Reeks : Ecoute, connard. Ce qu'il nous a dit ne concerne que nous. On sait très bien ce que tu comptais faire : nous utiliser pour te livrer Farrell, puis nous trahir, nous balancer & exploser Yuen. Toute la gloire te serait revenue et t'aurais pu continuer ton business de meth tranquillement jusqu'a la fin de tes jours. Moi, j'ai un certain sens de la justice et je pense que les types comme toi sont pires que nous.
William Petersen : Ouais. Vous avez tué 5 flics et des civils. A part ça, vous êtes des anges.
Michael Reeks : La différence entre toi et nous, c'est qu'on a tué pour quelque chose. Yuen. Toi, tu vas ruiner 5 vies simplement pour sauver ton gros cul.
William Petersen : Et alors? Je m'en bats les couilles de ta phylosophie. Donnez moi l'informateur avant que je vous plombe tous.
Kyle Gordon : Avant que t'ais pu lever le poids qui te sert d'arme, je t'aurai transformé en passeoire.
-Kyle dévoile deux pistolets-mitrailleurs. Les trois autres sont armés de simple pistolets.-
William Petersen : Vous voulez vraiment crever.
Peter Lee : C'est ça... Dans ce cas tu sais ce qu'il te reste à faire.
-William lève son arme pour tirer sur Peter.-
Peter Lee : KYLE!
-En une seconde, Kyle réagit et détruit la seule source de lumière en une salve de tirs. Toute la scène est plongée dans l'obscurité, on voit simplement les coups de feu s'échanger pendant un moment. Puis, les phares de la voiture de Lee s'allument, la lumière se dirige vers Petersen, en train d'agoniser. Peter s'approche de lui, son arme en main, vidée de ses munitions.-
Peter Lee : Quand tu choisis un rendez-vous pour un deal à 100% de mal tourner... Etudie le terrain.
-Peter met un nouveau chargeur dans son pistolet et l'arme.-
Peter Lee : Je t'envoie en enfer, connard. Mais je t'assure que tu seras pas seul.
-Pan x_x. La caméra revient sur Lee. Il sort une lampe-torche de sa veste de costume et la dirige vers Farrell, mort.-
Michael Reeks : C'est qui ça?
Peter Lee : Farrell. Vous allez tous bien?
Donnie Krieg : Ouais.
Kyle Gordon : Parfait. Maintenant, on fait quoi?
Peter Lee : On a pas beaucoup de temps. Il faut qu'on aille sur le lieu de l'embuscade. C'est une bonne occasion.
Donnie Krieg : Une bonne occasion pour quoi?
Peter Lee : Pour éliminer Yuen, Tequila, et tous les pourris au service de Petersen.
Michael Reeks : Inutile. Le FBI va s'en occuper. On a meilleur temps de se tailler de cette ville vite.
Peter Lee : C'est au programme, ça aussi.
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Ze Ring
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Posté le 23 septembre 2010 à 21:56 | Sujet : Scenarios
Scène 22

Note : OK, on en arrive à la grosse grosse scène du scénario. La fusillade en plein New York entre Triades – SWAT – FBI – Lee et ses potes. Je vais essayer de me débrouiller pour rendre le tout lisible mais c'est pas garanti que toutes les séquences soient sur un pied d'égalité. J'attends avec impatience vos réactions sur cette scène.

-Premier plan de la scène : on voit Tony Yuen dans le fourgon, menotté, un membre de la police lourdement armé en face de lui.-
Tony Yuen : Vous allez tous crever. Je pense que vous le savez ça.
-Temps de silence.-
Tony Yuen : Mes hommes vont tous buter et je partirai libre. J'en ai pas fini avec cette ville.
-Le garde sort un pistolet de son holster.-
Tony Yuen : Tu comptes faire quoi avec ça, abruti?
Garde : J'ai été payé pour te surveiller, moi et le conducteur du fourgon, pour nous envoyer dans une embuscade de la police, dont le but est de t'exploser ta sale gueule de niac. Je meurs d'envie de le faire moi-même alors si tu veux garder les quelques minutes qui te restent à vivre, ferme ta putain de gueule.
Tony Yuen : Je parle à un homme mort. Vous êtes déja tous six pieds sous terre.
-Yuen appuie son dos sur le fourgon. La caméra passe alors de l'autre côté de l'avenue, on voit le fourgon arriver. Au bout d'un moment, la caméra survole littéralement les immeubles et dévoile, en dessous d'une autoroute, un gros camion lourd, à l'arrêt mais prêt à partir. Sur l'immeuble ou se trouve l'autoroute en dessous de laquelle se trouve le camion, plusieurs hommes armés jusqu'aux dents se réunissent. Plan de face sur le camion lourd sous l'autoroute. Le conducteur enclenche le contact & démarre, commence à fonder pour rentrer droit dans le fourgon qui arrive sur la route en face. Finalement, le camion frappe de plein fouet le fourgon. On voit les occupants du fourgon voltiger littéralement lorsque celui ci se retourne, puis ce dernier s'étaler royalement sur la route en défoncant tout ce qui se trouve sur son passage. Lorsque le fourgon à fini de glisser sur la route, on revient à l'intérieur du fourgon. Yuen et le garde sont étalés par terre. Yuen attaque alors le garde. Alors qu'il essaie de se relever, il lui envoie un coup de pied, il retombe en arrière. Yuen en profite pour étrangler le garde avec ses menottes, mais ce dernier sort son pistolet et commence à tirer partout. Alors qu'il se débat, il tire par mégarde sur le conducteur dont la cervelle tapisse alors la vitre blindée du fourgon. Son arme vidée, il envoie un coup de coude à Yuen, qui tombe. Le garde continue de se débattre et envoie plusieurs autres coups de coudes, ainsi qu'un coup de tête en arrière. Yuen perd l'avantage. Le garde parvient à se défaire de l'emprise de Yuen et court à l'autre bout du fourgon chercher une arme. Yuen se lève, ensanglanté, s'empare du pistolet qui se trouve dans le holster à côté de lui, tire une balle sur le chainon des menottes pour le briser puis lorsque le garde se retourne, lui tire 4 balles dans le torse.-
-Plan sur l'arrière du fourgon, retourné sur le côté. On voit les deux portes s'ouvrir, et Yuen en sortir. Il est rejoint par 4 hommes des Triades, armés jusqu'aux dents, ainsi que Tequila.-
Tequila : Chef!
Tony Yuen : Bordel, vous en avez mis du temps.
-Tequila lance un deuxième pistolet à Yuen.-
Tony Yuen : Parfait. On y va!
-Alors que Yuen suit Tequila pour s'enfuir avec ses hommes, un fourgon du SWAT vient interrompre leur chemin. Plusieurs hommes en sortent et commencent à arroser ces derniers. Ils prennent une couverture & commencent à riposter. Plusieurs plans montrent également des hommes du SWAT arroser les hommes des Triades en contre-bas. Plusieurs autres voitures des Triades ne tardent pas à arriver pour rendre la fusillade encore plus épique. Alors que Yuen et Tequila bataillent pour rejoindre leur itinéraire de fuite (on les voit de face), une voiture arrive de derrière. Il s'agit de Lee et de ses hommes. Deux des hommes de Tequila se retournent et commencent à arroser le véhicule, l'endommageant gravement. On voit, lors d'un plan extrêmement furtif, Kyle se prendre une balle dans le ventre. Lee continue à conduire, Michael tire au pistolet (-__-) sur les Triades pendant que Donnie tente d'arrêter l'hémorragie.-
Donnie Krieg : Kyle est touché! Bordel!
-Peter tape un dérapage et s'arrête à quelques mètres des Triades, pris entre deux feux. Les Triades continuent de leur tirer dessus, pendant que Peter et son équipe descendent de la voiture par la gauche pour prendre couverture. Donnie sort Kyle de la voiture et le met à l'abri.-
Peter Lee : Comment il va?!
Donnie Krieg : Mal! -Il essuie un tir- Bordel!
Michael Reeks : C'est une putain de zone de guerre ici, merde!
-Plan sur les Triades qui se déchainent clairement sur l'équipe de Lee.-
Michael Reeks : Bordel! Donnie, envoie moi les auto!
-Plan sur Donnie, qui prend les deux automatiques de la scène automatique à Kyle et les fait glisser sur le sol jusqu'a Michael, qui s'en empare, se laisse tomber en arrière, et tombe nez-à-nez avec les Triades. Evidemment, il se laisse aller et vide ses chargeurs sur eux. 3 hommes des Triades tombent à terre, Michael revient à l'abri.-
Michael Reeks : On s'en sort pas ici, merde!
Donnie Krieg : Il est en train de clamser Lee!
Peter Lee : Bordel! Qu'est-ce que tu veux que j'y fasse?!
-A ce moment-là, un hélicoptère passe au-dessus d'eux : voila le FBI. On voit deux agents sur la porte de côté, l'un armé d'un sniper et l'autre de la mitrailleuse de l'hélico. Forcément, lorsque l'hélico passe au-dessus de l'avenue, le mitrailleur se déchaine et laisse parler les flingues. Plusieurs plans sur les Triades ainsi que le SWAT qui se baisse pour éviter les tirs de la mitrailleuse lourde du FBI.-
Peter Lee : Donnie, emmène-le à l'abri! Un vrai abri!
Michael Reeks : Prends-ça!
-Michael lui lance un de ses automatiques. Donnie passe la bandoulière autour de son cou pour réduire le recul lors des tirs, puis prends Kyle sur son épaule et commence à marcher. Alors que l'hélicoptère fait demi-tour pour envoyer une nouvelle salve de mitrailleuse, Donnie traverse le champ de bataille en mitraillant en petites rafales tout ce qui se met en travers de sa route. Après quelques pas, deux hommes des Triades lui tirent dessus au fusil à pompe, il est forcé de se mettre à l'abri derrière une autre voiture. Il continue ensuite sa route en tirant à l'aveuglette jusqu'a arriver dans une ruelle, ou les choses sérieuses commencent enfin.-
Donnie Krieg : Reste la!
-Donnie recharge son arme, puis utilise une cloture perpendiculaire à la ruelle ou il se trouve pour contourner les Triades & éliminer un maximum de monde. Le FBI envoie sa deuxième salve, explose tout sur son chemin (dont une voiture), Donnie glisse en avant pour éviter les tirs et se rend compte au même moment que son arme est vide. Les tirs des Triades sont alors concentrés sur lui. Lee et Reeks s'en rendent compte. Reeks commence à arroser les Triades qui tirent sur Donnie avec les balles qui lui restent pendant que Lee, avec deux Beretta akimbo court vers Donnie pour l'aider à se sortir du guepier dans lequel il s'est foutu. Alors que Michael couvre Peter, il tombe à court de munitions & doit alors compter sur un petit revolver d'une très grande inutilité. Malgré tout, Peter arrive jusqu'a Donnie et lui donne un de ses deux pistolets.-
Peter Lee : Y a 15 balles dans cette merde! Utilise les à bon escient!
Donnie Krieg : Comment je suis supposé buter 150 types avec 15 balles?
Peter Lee : J'en sais rien! Démerde-toi!
-Une explosion au niveau du fourgon des SWAT se fait alors entendre. Il s'agit de Tequila, qui à réussi à se frayer un chemin jusqu'au sommet d'un immeuble et balance des grenades sur le SWAT, une ceinture de grenades dans une main, un Uzi dans l'autre. Il continue à bombarder le SWAT mais le FBI revient à l'attaque & commence à l'attaquer à la mitrailleuse, mais Tequila parvient à échapper aux tirs et à prendre une couverture. Pas pour longtemps toutefois, car la mitrailleuse démolit littéralement le muret ou il avait pris position et le tireur de l'hélico l'a dans sa ligne de mire. Plan rapproché sur le visage en sueur de Tequila et sur le visage du sniper en position de tir. Tout à coup, l'hélicoptère explose et se crashe dans un immeuble. Un plan montre alors une équipe des Triades avec à sa tête un mec armé d'un foutu bazooka. Plan fixe sur Peter, ébahi.-
Peter Lee : Donnie, tu saurais m'expliquer d'ou ils ont sorti ce putain de bazooka?
Donnie Krieg : J'en sais rien... Je vais chercher Kyle, toi va choper Yuen, descends-le!
-Plan-séquence. Peter se met à courir au milieu des épaves de voiture, armé de son pistolet, à la recherche de Yuen et de Tequila. Il ramasse le pistolet d'un mec des Triades, puis continue de courir et aperçoit Yuen, accompagné de Tequila, toujours armé de son pistolet-mitrailleur, qu'il utilise pour retarder Lee. Il sort de sa couverture & commencent à arroser Yuen et son bras droit façon akimbo, mais tous ses tirs échouent mystérieusement. Finalement, ils entrent dans une ruelle. Lee les rejoint jusque la. Un truand armé d'un canif (-__-) tente de le tuer mais Lee lui répand les tripes par terre d'un tir de chaque pistolet, puis tue un autre truand avant d'arriver dans le piège de Yuen et de Tequila. Les 3 hommes des Triades ayant survécu (ou étant restés sur le lieu de la fusillade), ainsi que Tequila et Yuen pointent leurs armes sur lui.-
Tony Yuen : Ne tirez pas! Alors... Le superflic. -Il s'avance vers Lee tout en parlant.- J'ai comme l'impression que c'est la fin de ta carrière aujourd'hui. Je dois avouer que tu m'as quand même donné tort. T'es coriace. Très coriace. Mais je le suis plus que toi. Et personne n'est intraitable. T'es pas à toute épreuve. Et aujourd'hui tu vas mourir.
Peter Lee : T'as fini ton discours épique?
Tony Yuen : T'es fini connard! Je vais te flinguer, histoire que tu te rendes compte que t'es pas un putain de super-héros!
-Tony Yuen pose le canon de son pistolet sur le front de Lee.-
Peter Lee : Vas-y. Tire.
-Silence.-
Peter Lee : Qu'est-ce que t'attends? Vas-y. Tire. J'attends que ça.
-Silence.-
Peter Lee : Tire, espèce de fiote. Putain.
-Lee place le canon de Yuen dans sa bouche.-
Tony Yuen : T'es complètement allumé. Crève, connard.
-Lee envoie un coup dans le bras de Yuen pour que la balle parte dans sa joue et évite de lui atomiser toute la tête. Il tombe en arrière mais parvient à ramasser le pistolet qu'il avait jeté plus tôt et à tuer Yuen. Les Triades ripostent, mais Michael arrive à temps, armé d'un M4 pour éliminer les 3 truands. Malheureusement, Tequila parvient à s'échapper. Michael lache son arme et court jusqu'a Lee, qui rampe lui pour se poser sur une benne à ordures.-
Michael Reeks : Lee, faut qu'on bouge de la et vite.
Peter Lee : -tout en toussant très violemment évidemment.- Ouais. -Il se relève tout en sortant un mouchoir de sa poche qu'il utilise pour essayer de stopper l'hémorragie. Il commence à avancer et finit par sortir de la ruelle. Donnie les rejoint à la sortie de la ruelle.-
Michael Reeks : Ou est Kyle?
-Silence. Donnie fait non de la tête.-
Michael Reeks : -il tape dans une benne.- Et merde!
Donnie Krieg : On doit bouger, vite.
-Michael, Peter et Donnie courent jusqu'au reste de leur voiture, démarrent et quittent la scène.-

[Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 26 septembre 2010 à 16:03]
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 00:03 | Sujet : Scenarios
Blue Vigilantes est fini!
J'ai décidé de faire une deuxième partie plus courte mais plus intense, histoire d'éviter que ça devienne trop répétitif et que le tout s'essoufle.

Scène 23

-Michael, Peter et Donnie sont dans la voiture. Peter conduit. Tous ont les larmes aux yeux.-
Donnie Krieg : Arrête cette putain de voiture.
Peter Lee : On a pas le temps, Donnie... Les Triades sont après nous...
Donnie Krieg : Arrête cette voiture. J'arrête. Je veux me barrer de cette ville le plus vite possible! Ma vie est niquée mec!
Peter Lee : Si tu descends de cette voiture, elle sera encore plus niquée, tu seras mort! Hors de question que je te laisse descendre!
-Donnie, impulsivement, pointe son arme sur Peter.-
Donnie Krieg : Laisse-moi descendre.
-Peter arrête la voiture.-
Peter Lee : Tiens. -Peter donne son arme de secours à Donnie.- T'en auras besoin. Fais gaffe à toi.
Donnie Krieg : T'en fais pas. Vous allez faire quoi?
Peter Lee : J'ai un compte à régler avec Tequila. Michael, t'es avec moi?
Michael Reeks : Bien sur, mec. Toujours.
Donnie Krieg : Bonne chance à vous deux. Je quitte la ville.
-Donnie sort de la voiture et ferme la portière. Peter et Michael partent en voiture mais la caméra reste centrée sur Donnie, qui s'aventure dans une petite ruelle. Tout en marchant, il sort une bouteille de whisky de sa veste et en boit une gorgée. Puis il commence à sangloter, il s'accroupit et s'appuie contre le mur de la ruelle, en lachant sa bouteille qui se casse par terre. Tout en sanglotant, Donnie plonge la main dans sa veste. Au bruit, on entend très bien qu'il défait le bouton de son holster. Puis on le voit sortir son revolver de secours. Il pose un genou à terre, puis il s'assied et pose son dos contre le mur de la ruelle, toujours son revolver en main. Il enlève une à une les balles du revolver mais en laisse une. Puis il fait tourner le barillet et active la détente. Il pointe alors le revolver sur sa tête et tout en sanglotant, il appuie sur la gachette. 1 première fois sans succès. Puis une deuxième... Jusqu'a la cinquième ou il se met à regarder son revolver, perplèxe. Il le pose à terre, allume une cigarette et commence à fumer. Après deux-trois taffes, il finit par jeter sa clope et reprend son arme. La caméra monte alors vers le ciel et un coup de feu se fait entendre...-


Scène 24

-Peter conduit. On entend sa voix et celle de Michael en fond sonore.-
Michael Reeks : Tu sais ou se trouve Tequila? Et pourquoi tu le cherches?
Peter Lee : C'est pour choper ce salaud que je suis parti après Yuen. Il se cache dans l'hotel qui appartenait à Yuen y a pas si longtemps à Manhattan. On attaque le Penthouse.
Michael Reeks : C'est le seul plan que t'as à proposer?
Peter Lee : Qu'est-ce qu'on a de plus à perdre?
-Ecran noir. Puis un plan fixe sur les visages explosés de Peter et Michael sifflotant dans un ascenseur apparait. Lorsque la porte de l'ascenseur s'ouvre, la caméra fait un tour à 180°, permettant de voir les deux protagonistes s'aventurer dans le couloir du penthouse, chacun armé d'un pistolet. La caméra reste en place jusqu'a ce que les deux personnages ne soient plus visibles, à ce moment-là, un gros plan de l'autre côté du couloir du penthouse apparait et on voit Michael et Peter entrer dans la pièce au ralenti. La caméra tourne encore une fois pour passer derrière eux. Peter hurle alors.-
Peter Lee : TEQUILAAAAA! Toi et moi avons un compte à régler.
Tequila : Ouais.
-La caméra fixe alors Tequila, se trouvant sur un escalier au-dessus d'eux. Peter et Michael pointent leurs armes sur lui.-
Tequila : Alors?
Peter Lee : On en finit ce soir.
Tequila : Ca me va.
-Tequila sort alors un Uzi et commence à arroser les deux protagonistes qui prennent couverture derrière une large table de bois. Tequila ne tirant que par brèves rafales, ils parviennent à riposter en tirant à l'aveuglette, forçant ce dernier à se mettre à couvert.-
Peter Lee : Mike! Couvre-moi, je vais contourner ce connard!
-Michael sort alors de son abri et commence à arroser Tequila dans le but de l'empêcher de riposter, pendant que Peter court vers une autre couverture. Pendant que Michael recharge après plusieurs tirs, Tequila le remarque et envoie une salve de cartouches vers Peter, qui parvient encore une fois à esquiver les tirs et va se cacher derrière un pilier. Michael continue de tirer sur Tequila, permettant à Peter de monter les escaliers sans se soucier des rares coups de feu tirés par Tequila. Toutefois, arrivé à la moitié des marches de l'escalier, Tequila, se trouvant au-dessus, vide un chargeur en direction de Lee, ce qui démolit littéralement les escaliers de pierre. Peter parvient néanmoins au sommet, forçant Tequila à reculer pour entrer dans une pièce supérieure du penthouse. Caché derrière un buste, Peter essuie plusieurs tirs, auxquels il riposte en tirant à l'aveuglette.-
Peter Lee : T'es fini, connard!
Tequila : J'en suis pas si sur!
-A ce moment-là, 5 membres des Triades entrent dans le Penthouse, du côté opposé de celui ou Peter et Michael sont entrés. Ils commencent à ouvrir de feu à la Kalashnikov sur Michael, qui est forcé de passer de l'autre côté de sa table pour éviter d'y passer. Il tire deux-trois coups à l'aveuglette, mais il se rend compte de l'inefficacité de sa technique et adopte une nouvelle tactique. Il remarque à côté de la table, un chariot sur lequel se trouve de nombreuses bouteilles d'alcool. Michael envoie un coup de pied pour l'envoyer vers les Triades et lorsqu'il arrive vers eux, il vide son chargeur sur les bouteilles. Finalement, il sort une cigarette, un briquet, l'allume et l'envoie vers le chariot, qui s'enflamme, forçant deux des gangsters à sortir. Il recharge en vitesse, en élimine un, mais l'autre, armé d'un fusil à pompe, dégomme sa table, il se voit donc forcé de plonger sur le côté pour courir jusqu'a une nouvelle planque (un pilier en l'occurence) pour pouvoir éliminer ce deuxième type. La scène revient ensuite sur Lee, qui, tout en se méfiant de Tequila, dégomme un type pour aider Michael, puis tente d'entrer dans la pièce ou s'est réfugié Tequila, mais essuie une rafale de tirs. Il prend donc couverture & tire une nouvelle fois à l'aveuglette jusqu'à tomber à court de munitions. Il jette son chargeur et passe la main dans sa poche pour se rendre compte qu'il n'a plus de balles.-
Peter Lee : T'as plus de balles hein?
Tequila : Non. Toi t'as plus de balles! Moi j'en ai encore!
Peter Lee : Et merde!
-La caméra passe sur Michael, qui se fait arroser par deux types qu'il n'arrive pas à buter. Au bout d'un moment, il remarque à côté de lui un extincteur... Il s'en empare, et le balance en direction de ses deux adversaires, tire sur l'extincteur, qui explose et débusque les gangsters. Il finit par les éliminer. Il monte ensuite rejoindre Peter, toujours caché derrière son pilier.-
Peter Lee : Combien t'as de balles?
-Michael retire son chargeur. Il n'a plus de balles. Seulement une, celle qui est restée dans la culasse.-
Michael Reeks : Une.
Peter Lee : Donne-la moi.
-Michael lance la balle à Peter, qui l'attrape et la charge dans son pistolet.-
Peter Lee : Si t'existes, Dieu, et si tu m'entends, espèce d'enfoiré, bénis cette putain de balle...
-Peter, dans un élan héroïque sort alors de sa cachette pour rentrer dans la pièce. Tequila l'attendait. Peter parvient à lui tirer une balle dans la côte, mais cela ne le tue pas, et Tequila riposte de son pistolet-mitrailleur. Il vide son chargeur sur Peter, qui recule jusqu'a la rambarde au-dessus de l'escalier et tombe par terre, l'étage en dessous. Furieux, Michael s'élance à l'intérieur de la pièce. Tequila le voit et tente de le tuer mais il se rend compte trop tard qu'il n'a plus de balles. Il recharge, mais avant qu'il ait le temps de tirer, Michael lui saute dessus. Tequila lache l'arme. Michael lui envoie 3 pains, avant de ramasser l'arme que Tequila essayait d'atteindre. Puis il la pointe sur lui.-
Michael Reeks : Bouge pas, enfoiré! Bouge pas! Je vais te transformer en putain de passoire!
-Tequila se calme. Michael se relève, toujours l'arme pointée sur ce dernier.-
Michael Reeks : Lève-toi.
-Tequila se lève. Michael lui envoie une salve de tirs dans les jambes. Tequila retombe.-
Tequila : Bordel! Tu me veux quoi enfoiré?!
Michael Reeks : T'as buté mes potes. Je vais prendre ma vengeance. Je vais te torturer... Jusqu'a ce que tu crèves.


Scène 25

-Tequila est attaché quasi-nu (il a juste son vieux slip) à une chaise. Il est ensanglanté.-
Tequila : C'est ça ta torture?
-Tout en fouillant la pièce, Michael parle à Tequila.-
Michael Reeks : Ta gueule.
-Tequila continue de tergiverser. Il dit de la merde. En fouillant dans une armoire, Michael trouve une batte de base-ball. En la voyant, il semble satisfait.-
Michael Reeks : C'est l'heure des aveux. Tu sais ce que c'est un aveu?
Tequila : Ouais, j'en ai un à te faire. VA CHIER CONNARD!
-Michael envoie un coup de batte dans la jambe blessée de Tequila. Ce dernier hurle.-
Tequila : Va te faire foutre!
-Un autre coup de batte. Il rehurle et le réinsulte. Un autre coup de batte. Pendant bien deux minutes.-
Tequila : Arrête, s'il te plait! Arrête, merde!
Michael Reeks : T'implores mon pardon?
Tequila : Oui, je t'en supplie arrête!
Michael Reeks : Supplie-moi. Fais moi pitié.
Tequila : Arrête, putain...
-Michael envoie un violent coup de batte dans la tête de Tequila. Une de ses dents vole par terre. Michael le remarque. Il ramasse la dent.-
Michael Reeks : Il est naze ton dentifrice...
-Michael jette la dent au visage de Tequila.-
Michael Reeks : Je disais... C'est l'heure des aveux. En fouillant un peu dans cet appart', j'ai trouvé des clous et un marteau. Je vais te poser des questions. Chaque fois que je ne serai pas satisfait de la réponse, je t'enfoncerai un clou dans le corps. Le premier dans le pied. Le deuxième dans le dos. Au troisième avertissement, je te crève ton deuxième oeil.
-Michael prend le marteau sur la commode, ainsi qu'un clou.-
Michael Reeks : Première question. Es-tu un des plus gros fils de putes de cette putain de planète?
Tequila : ...Oui.
-Allez, hop, un clou dans la jambe. Vous pensez bien que Tequila n'est pas très content.-
Tequila : Bordel, je t'ai donné ta putain de réponse, tu veux quoi?!
-Coup de marteau à l'endroit ou le clou est planté.-
Michael Reeks : Je tiens à préciser que je suis le roi des menteurs quand je torture l'enfoiré qui à tué mes amis.
Tequila : Tu veux quoi comme réponse?
Michael Reeks : A vrai dire, aucune. Je m'en cogne de ce que t'as à me dire. Je veux juste te crever. Mais avant, je compte bien m'éclater un peu. Tu as déja vu Reservoir Dogs?
Tequila : Ouais...
Michael Reeks : Le type que tu viens de tuer m'appelait "Blonde". Comme Mr Blonde, le sadique de Reservoir Dogs. Je trouvais ça complètement con. Je suis pas sadique... J'aime juste rendre la souffrance à ceux qui l'infligent.
Tequila : Ton pote à pas du sentir grand chose... Ca a du le foudroyer sur place.
Michael Reeks : Tu l'as tué. T'as pris ton pied. Maintenant, c'est mon tour. Y a un jeu que j'ai toujours aimé. Tu sais quoi?
Tequila : Non?
Michael Reeks : Les fléchettes.
-Michael sort un cran d'arrêt, l'ouvre et le lance dans l'épaule de Tequila. Il hurle. Michael vient le reprendre, reprend une bonne distance, et le relance. Cette fois-ci dans le bras. Michael retourne prendre son cran d'arrêt, puis taillade la joue de Tequila, puis son torse, puis il feinte un coup de couteau à la gorge mais s'arrête juste avant de toucher la gorge de Tequila.-
Michael Reeks : Tu crois vraiment que je vais le faire hein? Que je vais te faciliter ton départ de ce monde? Un conseil. Bouffe ta langue. J'en ai pas encore fini avec toi.
-Michael coupe l'oreille de Tequila et lui fout dans la bouche, avant de planter son cran d'arrêt dans a jambe. Alors que Tequila hurle, Michael continue de fouiller la pièce, jusqu'au moment ou il trouve une armoire pleine de bouteilles d'alcool.-
Michael Reeks : Ca me plait bien, ça.
-Il prend une bouteille de whisky. Il se rapproche de Tequila, ouvre la bouteille et en boit une gorgée.-
Michael Reeks : Je suis généreux, je vais partager avec toi.
-Michael commence à vider la bouteille sur Tequila tout en lui tournant autour. Lorsque la bouteille est vide, il lui pète sur le visage, puis il retourne prendre une autre bouteille, et effectue la même manoeuvre, mais il jète celle-ci par terre. Finalement, il sort un briquet.-
Michael Reeks : Ca me rappelle ce film... Die Hard 2... Une équipe de "méchants" s'enfuit en avion. Le héros monte sur l'aile de l'avion et se bat avec un des "vilains", qui le jete de l'avion. Mais avant, il parvient quand même à ouvrir le réservoir d'essence, ce qui lui permet d'enflammer le bordel et de niquer l'avion. Mais tu sais ce qu'il dit avant ça?
Tequila : Non?
Michael Reeks : Yippie kay yee, mother fucker.
-Michael jete le briquet sur Tequila, qui s'enflamme.-


Scène finale

-Michael est assis dans un café. Il fait nuit, il n'y a donc que lui et le gérant.-
Gérant : Ce sera quoi?
Michael Reeks : Un café.
Gérant : 2$50.
-Michael sort 2$.-
Michael Reeks : J'ai pas plus que 2$. Ca ira?
Gérant : Ca ira.
-Le gérant part faire du café. Il laisse donc Michael seul. On entend quelqu'un entrer dans le café. Ce quelqu'un se rapproche du comptoir. Entièrement vêtu de noir, il porte une capuche et son visage n'est pas visible. Le gérant revient.-
Gérant : Ce sera quoi?
Mec en capuchon : Le fric.
Gérant : Comment?
-Le mec en capuchon sort une arme et enlève sa capuche. Il s'avère que c'est Jimmie, le personnage de la scène 8, et le cousin de Michael.-
Jimmie : Donne moi ton putain de fric!
Gérant : Ok, calme-toi. Je vais te donner le fric.
-Michael se rend compte de qui est le braqueur.-
Michael Reeks : Jimmie?
-Jimmie pointe son arme sur Michael.-
Jimmie : Ouais, lui-même.
-Michael tente de se lever.-
Jimmie : Bouge pas! Reste ou t'es!
Michael Reeks : Bordel, Jimmie! C'est moi! Michael!
Jimmie : Rien à foutre! Reste ou t'es et bouge pas!
-Le gérant donne l'argent à Jimmie.-
Michael Reeks : Je croyais que tu devais pas te servir de ça? -Il parle de l'arme.-
Jimmie : J'ai changé d'avis. Je bouge. Reste la.
-Jimmie s'apprête à partir lorsque Michael se lève.-
Jimmie : Putain, t'es sourd ou quoi? Bouge pas!
-Michael passe la main dans son manteau, Jimmie tire au niveau de sa main. Michael la ressort, tenant un paquet de cigarettes, qu'il lache sans le vouloir. La balle ayant traversé, Michael vacille et tombe, assis contre le comptoir. Jimmie, ébahi, lache son arme et sort en courant. Michael s'éteint paisiblement. Fin.-
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Ranncod
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Super connard


Posté le 24 septembre 2010 à 00:08 | Sujet : Scenarios
J'aime

Plus qu'à trouver un producteur sur ce forum
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 00:10 | Sujet : Scenarios
Et une caméra et des acteurs
Tu as tout lu?
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Ranncod
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Super connard


Posté le 24 septembre 2010 à 00:13 | Sujet : Scenarios
Non, juste le début

Je lirais le tout dans le week end.
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 00:15 | Sujet : Scenarios
Ok
Tu me feras part de tes impressions
Les premières scènes du deuxième scénario ne devraient guère tarder maintenant.
Si quelqu'un veut que je lui envoie ce premier scenar par mail, qu'il me le dise (et qu'il me donne son e-mail au passage)
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Teh_Aerith
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Sa Sainte Teh


Posté le 24 septembre 2010 à 09:45 | Sujet : Scenarios
Pfiou !!!
Il va me falloir un paquet de temps pour lire tout ça...

J'ai déjà commencé, j'aime beaucoup !!!
Promis je lirai tout !!!
Trois tomates se baladent dans la rue. Papa tomate, maman tomate et bébé tomate. Bébé tomate traîne, regarde les belles nanas. Papa tomate se met en rage, lui balance une claque et lui dit : « Qu'est ce t'as ? T'es tout rouge. » ( Jeffou m'a hacker, sama tuer ... )
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 12:15 | Sujet : Scenarios
Aucun souci!
J'attends tes réactions
En attendant je me lance dans le deuxième
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Shinra
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Artiste


Posté le 24 septembre 2010 à 17:29 | Sujet : Scenarios
=> J'ai préfère la seconde version de la scène 21 plus de détails, plus cohérents, en gros, 10 fois mieux ! C'est chaud !

=> J'adore la tête des persos de Blue Bastards ! :D Synopsis intéressante

=> Je lis le reste ce soir, c'est promis
_██_
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Shinra-Creation
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 17:58 | Sujet : Scenarios
Merci de tes compliments Shinra
En effet, la seconde version de la scène 21 est selon moi la mieux Je trouvais la première trop incohérente, et la fusillade de fin trop mal faite et trop gratuite je dirais
Pour Blue Bastards, je tiens à préciser que je vais adopter une mise en scène "non linéaire"... Les scènes ne se suivront pas dans un ordre chronologique, afin de donner plus de rythme a ce scenario qui pourrait être redondant et pour que j'ai tout le loisir d'explorer les personnages comme je le souhaite!
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 24 septembre 2010 à 21:00 | Sujet : Scenarios
Bon, j'ai commencé Blue Bastards.
Comme je l'ai dit plus haut, la mise en scène est non-linéaire. Les scènes ne défilent pas dans l'ordre chronologique.
Par ailleurs, j'opte pour un changement total de style et j'essaie de jongler entre les genres : tantot fantastique, tantot policier... Et surtout, je veux une scène d'action (je travaille dessus, ma scène 3) brève, ultra violente mais en totale inadéquation avec la musique. Genre "Don't let me be misunderstood" ou "Stuck in the middle you" pendant que 10 keums s'explosent au fusil à pompe dans une cave

Voici les deux premières scènes :

Scène d'ouverture = Première vision du massacre

Cette scène vise à donner une dimension fantastique et mystérieuse au personnage d'Adidas.

-Le film commence sur un plan dans le dos d'Adidas. Il contemple calmement un magasin, genre petit supermarché (on y vend majoritairement de la bouffe). Il s'avance calmement en direction de ce dernier, portant un sac sur le dos. La porte du magasin s'ouvre automatiquement, Adidas entre, la porte se referme. La caméra commence alors à se rapprocher d'Adidas, traverse les vitres du magasin puis se rapproche le plus possible d'Adidas, pour finalement tourner autour de lui et montrer clairement qu'il n'a pas de visage. La caméra "plonge" alors dans ce vide qu'est son visage puis plonge vers le bas jusque vers sa ceinture, ou l'on peut observer le manche d'un pistolet. Puis, retour arrière, la caméra revient dans le dos d'Adidas, mais reste dans le supermarché. Adidas tourne la tête sur la droite, la caméra part dans la direction ou cette dernière s'oriente, permettant de voir un client dans le magasin. Adidas tourne la tête en direction du comptoir, ou se trouve le gérant, même manoeuvre, mais la caméra se rapproche très rapidement de ce dernier puis passe dans son dos, permettant de voir Adidas se rapprocher calmenent du comptoir en ramassant sur son passage briques de lait, bouteilles d'eau... Puis il va parler au gérant. Ou du moins, le gérant lui parle.-

Gérant du magasin : Ca fera 15$, -Le gérant dit le nom d'Adidas mais il est censuré.-
Adidas : [sa voix est brouillée] 15$ pour cette merde?
-On voit le client arriver au comptoir derrière Adidas.-
Gérant du magasin : Si t'as un problème avec ce que j'ai à vendre, va ailleurs, mais si tu décides de consommer, tu payes.
Adidas : C'est ça.
-Le client arrive au comptoir, Adidas paye 15$, prend son sachet de nourriture et se retourne et commence à marcher en direction de la porte.-
Client du magasin : Ca va ce soir?
Gérant du magasin : Ouais. Quelques clients mécontents, mais à part ça, la routine...
-Adidas s'arrête de marcher à ce moment-là. Il se retourne, et marche rapidement en direction du comptoir, tout en dégainant le Colt Python vu précédemment, puis arrivé à portée du client, lui tire une balle derrière la tête (la caméra est toujours derrière le gérant). Du sang part en direction du gérant et sur la caméra. Adidas pose son arme sur le front du gérant.-
Gérant du magasin : Bordel, -Nom censuré- tu délires?!
Adidas : Non... Loin de la...
-De sa main gauche, Adidas sort son téléphone portable. Pendant ce mouvement, la caméra se rapproche de sa main, révélant deux doigts coupés et un gros anneau d'acier. Puis la caméra revient à sa place initiale. Adidas compose le 911.-
Adidas : Allo, c'est pour une urgence. J'ai entendu deux coups de feu à Pacific Ave.
911 : Votre nom, monsieur?
-Adidas raccroche.-
Gérant du magasin : Merde, mec... Fais pas ça...
Adidas : Désolé.
-Adidas appuie sur la détente. La caméra suit ce mouvement de très près, on voit son doigt presser la détente, puis la caméra "rentre" dans le revolver, permettant de voir le barillet tourner d'une chambre à l'autre, puis la "tige" activant la balle presser l'amorce. Une large détonation se produit dans le revolver, on suit la balle un moment (tout est ralenti) puis la caméra passe relativement lentement sur un plan d'Adidas tirant sur le gérant. Le ralenti s'arrête, la balle part d'un coup (ca doit être surprenant), le gérant se la prend dans la tête, une large gerbe de sang part sur le mur blanc derrière ce dernier. Ecran noir. S'ensuit des crédits à la Running Scared : http://www.youtube.com/watch?v=hizsag96trU&feature=related-


Scène 2 = Découverte du personnage de Michael Serna.

-Plan fixe sur un réveil indiquant 7h30, sonnant. La caméra part alors sur la gauche, révélant Michael Serna, dans son lit, à moitié eveillé. Au bout de quelques secondes dans le lit, il pousse énergiquement les couvertures et se lève, la caméra au-dessus de lui. Il s'assied sur le côté du lit, et ouvre le tiroir de sa table de nuit pour prendre deux cachets. Il se lève, les cachets en main, seulement vêtu d'un caleçon et d'un débardeur. Lorsqu'il sort du champ, la caméra se fixe sur le miroir de la salle de bain. On voit, au bout de quelques secondes, Serna entrer dans la pièce, ses cachets dans la main. Il s'empare du verre se trouvant près du robinet, le remplit d'eau, pour le boire avec les cachets. (Une musique se lance : http://www.youtube.com/watch?v=16jmmKOL1XQ&NR=1) Au moment d'ingérer les cachets, Serna les contemple curieusement. Puis il les laisse tomber dans le lavabo, vide son verre d'eau, le repose tranquillement a sa place et sort de la pièce. Cette fois, la caméra le suit jusque dans sa chambre, mais s'arrête devant la porte, que Serna ferme énergiquement. Du bruit se fait entendre. Il ressort après quelques secondes de la pièce, vêtu de chaussettes, d'un pantalon de costume, d'une chemise et d'une cravate non nouée. Il se dirige ensuite dans une pièce plus large, toujours suivi par la caméra, ou il enfile des chaussures de costume, et va boutonner sa chemise et nouer sa cravate devant un miroir. Finalement, il prend son holster, contenant un gros Smith & Wesson Model 29, l'attache à ses épaules, et enfile son manteau noir. Il sort ensuite de l'appartemment, descend les escaliers de l'immeuble et en sort. Il ouvre à distance sa voiture à l'aide de ses clés, ouvre la porte de cette dernière, et entre dedans. Il démarre immédiatement, et conduit, sans que le plan s'interrompe, jusqu'au commissariat, à deux pas d'ici. Il sort ensuite de la voiture et pousse la porte du commisariat. Lorsqu'elle se ferme, la musique s'arrête.

Le plan-séquence continue toujours, Serna avance dans le commissariat sans faire attention à qui que ce soit. Il tourne à droite dans le hall, pour monter des escaliers, ou il rencontre Messner, Tombs, et Henderson, sortant du commissariat. La caméra se focalise sur eux un moment, les regarde quitter l'endroit, puis revient très vite dans le dos de Serna, qui monte les grands escaliers du commissariat. Arrivé au sommet de ceux-ci, il tourne à gauche, ouvre la double porte de bois. Une secrétaire se trouve dans la pièce.-

Secrétaire : Bonjour, officier Serna. Le commissaire vous attend dans son bureau.
Michael Serna : Depuis quand?
Secrétaire : A peu près 3 minutes.

-Serna pousse la deuxième porte en face de lui. Il entre dans le bureau de McFadden, assis sur son gros fauteuil de cuir, fumant un cigare et très détendu. Serna ferme la porte, le plan-séquence s'arrête.-

Robert McFadden : Serna. Comment vas-tu?
Michael Serna : Tu me poses tous les jours cette question et tous les jours je te donne la même réponse.
Robert McFadden : Assieds-toi.
-Michael s'assied dans un fauteil en face de McFadden.-
Robert McFadden : Tu veux un cigare?
Michael Serna : Non, mais un verre de ta bouteille de whisky ici ne serait pas de refus.
-Robert sort un verre d'un tiroir et le pose sur son bureau.-
Robert McFadden : Sers-toi.
-Serna se sert un verre de whisky. Il ferme ensuite la bouteille et la repose à sa place. Il s'enfonce ensuite dans le fauteuil, son verre à la main.-
Michael Serna : Tu voulais me voir?
Robert McFadden : Tu as entendu parler de l'affaire Harlem-Perello?
Michael Serna : Oui, un deal entre les Perello et 4 tocards d'Harlem qui à mal tourné. Quoi?
Robert McFadden : Sur la scène du crime, le fils Perello à laissé un revolver. Un Colt Python .357. Mes hommes l'ont récupéré. Il y a trois jours, un type de la mafia était censé venir le récupérer, comme d'habitude. Le problème, c'est que le flingue à été récupéré avant, mais ca n'était pas par moi, ni par un de mes hommes.
Michael Serna : Qui alors?
Robert McFadden : On en sait rien. Tout ce qu'on sait, c'est qu'un type encapuchonné à attaqué un magasin dans la soirée d'hier et a buté le gérant et un client... Avec le revolver qu'on a égaré. On a vu ça en regardant les enregistrements des caméras de surveillance. On a trouvé un nom à ce mec : Adidas.
Michael Serna : Adidas? C'est créatif.
Robert McFadden : C'est tout ce qu'on sait de lui. Qu'il portait une veste Adidas le soir du raid. D'ou son surnom. Tu penses bien que cette histoire à attiré les fédéraux...
Michael Serna : [il coupe la parole à McFadden] Oui, je les ai croisés en arrivant.
Robert McFadden : Bref. Il faut qu'on retrouve le plus vite possible ce flingue. Il constitue une pièce à conviction importante contre Vincent Perello, et si jamais les fédéraux mettent la main dessus, ils seront en capacité de l'inculper lui et son père, et ça veut aussi dire que si ça arrive toi et moi on sera bons pour finir nos jours en taule.
Michael Serna : Sal en pense quoi?
Robert McFadden : Il est furieux, qu'est-ce que tu crois? Sa liberté court dans la rue.
Michael Serna : Qu'est-ce que ça à a voir avec moi?
Robert McFadden : Sal veut que tu lui rendes quelques services.
Michael Serna : Pour changer.
Robert McFadden : Tu seras payé 1000$ de plus que d'habitude.
Michael Serna : Alors, c'est quoi le topo?
Robert McFadden : Sal veut que t'encaisses de Del Rio, il tient un magasin à Harlem, tu peux pas le rater... Ca s'appelle "Del Rio Tools" je crois, une connerie du genre...
-Michael sort un carnet de notes et un stylo.-
Michael Serna : Combien? Sa dette.
Robert McFadden : 2500$.
Michael Serna : Ca fait un paquet de tunes. Je dépose ça ou?
Robert McFadden : Appelle Costello quand t'auras l'argent, il te donnera plus d'informations à ce sujet. Ensuite, je te mets sur l'affaire Perello-Harlem. Ordre de Sal. Fais semblant d'enquêter au moins. On sait très bien qui à la preuve, mais faut faire croire que non, histoire que les Fedéraux ne reviennent pas nous casser les couilles.
Michael Serna : Compris. De mon côté, je mènerai ma petite enquête sur ce "Adidas"...
Robert McFadden : Oublie, Perello à déja des hommes pour ça.
Michael Serna : Combien ont 10 ans de criminelle? -Silence.- Je m'en occupe, alors.
Robert McFadden : Fais gaffe, Mike... Ce "Adidas" est une crevure. Il hésite pas et que tu sois un flic ou non, il te tuera s'il te voit en travers de sa route. Et au vu de ton passé... Je te déconseille de te lancer la-dedans.
Michael Serna : T'en fais pas.
Robert McFadden : Tu peux t'en aller.
Michael Serna : Pas maintenant. J'ai pas fini mon whisky. Et j'ai besoins de plus de renseignements.
Robert McFadden : Qu'est-ce qu'il te faut?
Michael Serna : Qu'est-ce qu'on sait au juste sur l'affaire Harlem-Perello?

Sinon, c'est moi ou y a un problème avec les balises? Je mets un truc en gras, tout le message finit en gras

[Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 24 septembre 2010 à 21:01]
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Shinra
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Posté le 25 septembre 2010 à 23:16 | Sujet : Scenarios
Quel final !
(Bon, tout le monde est mort mais au moins Yuen est parti aux enfers )
Bien que la scène 22 (la scène de la fusillade) soit longue, elle reste compréhensible ! ça a du mettre du temps pour tout rédiger, nan ? en tout cas bravo, c'était génial !
Et comme le dit Shadow' il suffit juste de trouver un producteur et des acteurs !
_██_
(ಠ_ృ ) INDEED

Shinra-Creation
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Ze Ring
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Ressuscité


Posté le 25 septembre 2010 à 23:19 | Sujet : Scenarios
Merci beaucoup pour le temps que tu as passé a lire ce scenario Shinra Et pour tes impressions
En effet, la scène 22 est de toutes les scènes, celle qui m'a prise le plus de temps à rédiger : près de 4 heures passées dessus, sans compter le long temps de réflexion hors-écriture et les nombreuses correctes que j'ai apporté au fil de cette dernière pour éviter les incohérences, qui arrivent vite lorsqu'on écrit une scène de ce genre!
Par contre, je trouve la scène finale un peu molle...
Cela dit, les finaux de ce genre (tout le monde meurt), c'est un truc que j'aime beaucoup... Je déteste les "happy end". Je préfère les fins de crevard

[Ce message a été édité par son auteur pour la dernière fois le 25 septembre 2010 à 23:20]
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